mardi 27 avril 2010

La beauté des femmes

De la beauté des femmes, il en est comme celles des bijoux.

Au centre une pierre précieuse, un diamant, un rubis, une émeraude, un saphir, voir une pierre de  jade ou une perle sauvage, blanche ou noire.

Le tout enveloppé avec grâce par une monture qui lui sert de vêtements, laissant voir ça et là des parcelles de ce trésor, magnifiques et étincelantes et, dissimulant également d'autres parties qui du fait même semblent, encore plus magnifiques, délicates et recherchées. Œuvres d'imagination  puisqu'elles sont dissimulées, mais cela fonctionne à tous les coups.

 Puis, lorsque l'on s'approche et que du regard on scrute par transparence à l'intérieur du bijou, on y découvre petit à petit, son âme, sa personnalité, son impétuosité, ses goûts et ses désirs.

 Dès lors son apparence externe devient plus secondaire et, quelle qu'elle soit, on va arborer ce bijou avec une fierté non dissimulée, pour tout ce contenu intérieur, que personne ne peu vraiment voir ou apprécier à part nous.

C'est pour cela qu'à partir de  là ce bijou accroché à notre bras sera conservé avec douceur dans l’écrin de notre cœur. 

Ancienne ou plus moderne, quinqua ou dans la vingtaine, toutes ont leur charmes, leur beauté, leur lumière et leur contenu. Plus habillées ou moins dissimulées n'est qu'apparat pour mettre en valeur une création unique de la nature et qui évolue et se patine avec le temps !





samedi 24 avril 2010

Je te tiens, tu me tiens . . . et pince-téton

Quelle splendeur et quel jeu érotique. Plotage sexuel en règle ou partie de pince nichons ? 
Deux beautés fort connues, de leur époque, dont nous ne divulguerons pas les noms par courtoisie.

On peut aimer la sainte mamelle et ne pas être un goujat pour autant.

D'autant que cette toile est fort réussie et offre à l'amateur deux paires de seins, ma foi fort distinguées et avenantes. 

Femmes que vous êtes belles et que vos appâts sont tentants.

Et dire que ces tableaux sont des chefs-d’œuvre culturels.



Déesses du 21eme siècle, beautés qui nous entourent, lectrices, offrez-nous une photo des vôtres que nous publierons dans un prochain post !

samedi 17 avril 2010

Butain et butinage

On butine parfois par goût, mais trop souvent par excès.
Par excès d'attente, de désire et d'espoir.
La vie sous aspire ainsi et nous tourbillonne à l'infini.

Je vous livre en méditation sur le propos, quelques paroles d'une chanson d'Alain Barrière : « A trop attendre de la vie ». . .



A trop attendre de la vie
Et trop d'amour... et trop de temps
On se condamne en cette vie
A n'exister que de temps en temps

Ces quelques vers, tout bien réfléchi donnent envie et justifient à eux seuls
De prendre quelques verres
A la santé d'une idylle passagère
Le temps d'honorer une toute belle
De caresser ses seins
D'engloutir ses tétons

D'embrasser les rondeurs de ses fesses 
Et d'affoler sans réserve son bouton d'amour
Qui tirera de sa gorge quelques émotions.

Une œuvre de Sofi

mardi 13 avril 2010

Blancs nichons et tétons avides

Agnès Sorel  n'offrait-elle pas une perle sortie de son écrin avec ce seins célèbre et d'une beauté qui a traversée le temps ?


 Quoi de plus beau en ce printemps précoce que ses nichons tout blancs que nous offrent ces femmes ravissantes attablées au soleil, un verre à la main et, entre copines, sur les premières terrasses extérieures.

Laquelle se penche pour saisir sont verre que l'échancrure de son corsage dévoile au passant se sein blanc, presque blafard, et chaud comme une tourterelle.

Ce mouvement langoureux qui l'agite en cadence fait frotter sur le délicat tissus de soie, ce téton encore endormi. Qui soudain se réveil et s'étire, avide de plaisir.

Comment ne pas être émerveillé et ne pas en avoir l'eau à la bouche ?


Si vous en connaissez de sublimes, envoyez nous une photos que nous publierons et que nous complimenterons sur ce blog.

samedi 10 avril 2010

Vision de rêve

Le beau temps qui revient ne met-il pas en éclat toute la beauté des femmes, de la jouvencelle à la quinquagénaire, parées de tous leurs appâts.

Pourtant, pour l'amateur, chaque femme est une beautée unique que la chaude lumière du solail, ou la froide blancheur de la lune, illumine de mille scintillements.

Merci à vous et à votre pinceau, monsieur François Boucher pour cette ode à la femme depuis 1732. Même si nos congénères actuelles disposent d'appâts photogéniques tout aussi alléchants

A la une

Un peu de tout un peu de rien.

Vivre et laisser vivre.

Écrire et commenter.

Premier jour, première page et première note.