Les fruits de la passion

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Quoi de plus beau que ses seins bien ronds et d'un blanc immaculé, sur lesquels trônent ses tétons.
Comment ne pas apprécier ces hanches galbées aux courbes si raffinées.
Que dire de ces jambes croisées, aux cuisses roses et lisses, qui tentent de dissimuler de leur prude mouvement,  ce trésor féminin.
Quel luminosité, quelle beauté et quel charme, les bras croisés derrière la tête et à demi allongée dans le satin que cette vision. Que les femmes sont belles . .  !

Il faut remercier Eugène Delacroix pour la splendeur de cette expression picturale.

Les tétons pointés vers le ciel

Manet, que l’on ne présente plus, grand peintre s’il en fut.

Plusieurs de ces tableaux témoignent de son goût pour les femmes et leur nudité.

Celui-ci avec un réalisme saisissant offre une vue particulière sur la peau claire de cette femme sur son cou effilé et sur ces deux seins bien proportionnés.

Courbes parfaites et, tétons qui regardent vers le ciel, ces deux seins sont sublimes, leur blancheur reflète cette douceur que doit avoir leur touché et le frissonnement que doit avoir leur excitation.

De la main ou de la bouche, quel plaisir cela dû t-il être de les honorer et de les cajoler.
J’en ai l’eau à la bouche et les mains qui rêvent des vôtres.



















Quelle tentation . . .

Adorables coquines qui lisez ces lignes, envoyées moi une gourmande photo des vôtres !
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